Sur l'Europe, le président de la République parle de la France comme d'un "pays qui a démontré sa crédibilité budgétaire, qui a amorcé le redressement de sa compétitivité" avec pour objectif de réduire les déficits publics.
Il a décliné les axes du gouvernement sur le chômage, les retraites et les impôts, annonçant qu'il "ne cherche aucune défausse".
Il a salué "l'effort du gouvernement de Jean-Marc Ayrault", tout en affirmant que tous ses ministres sont "liés les uns aux autres par un pacte qui va de soi".
Quant à un remaniement, "c'est possible, mais ce n'est pas aujourd'hui et ce n'est pas maintenant et ce n'est pas d'actualité", dit-il.
Le président s'est prononcé sur le cas Jérôme Cahuzac, affirmant que l'ex-ministre du Budget "ne devrait pas se présenter à quelque élection que ce soit".
A propos des otages français au Sahel, François Hollande a déclaré avoir eu des preuves de vie récemment. Voici des extraits de son intervention.
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