Débat des Présidentielle 2017 : Voici les meilleures punchlines du débat sur TF1 entre les candidats.
Mélenchon, Hamon, Macron, Fillon, Le Pen : les cinq candidats qui dominent les sondages ont débattu lundi 20 mars sur TF1. Des attaques frontales aux traits d'humour, les "punchlines" ont fusé. Le meneur de la France insoumise a notamment fait rire le plateau en glissant, après un dialogue entre Emmanuel Macron et Benoît Hamon, "[qu'il fallait] bien qu'il y ait un débat au PS".
Quand Marine Le Pen, interrogée sur la laïcité, s'en prend à brûle-pourpoint au candidat d'En Marche ! : "Il y a quelques années, il n'y avait pas de burkini sur les plages, je sais que vous êtes pour, monsieur Macron."
Réponse de Macron à Le Pen : "Si je voulais quelqu'un pour parler à ma place, je prendrais un ventriloque."
Jean-Luc Mélenchon à Marine Le Pen, sur la question des vêtements à caractère religieux : "Vous ne pouvez pas établir une police des vêtements dans la rue."
À la suite d'une passe d'armes entre la candidate FN et le représentante de la France insoumise, François Fillon demande : "C'est un débat entre madame Le Pen et monsieur Mélenchon ou on peut parler ?"
Après une diatribe de Marine Le Pen sur le laxisme de la justice, Benoît Hamon lance : "Que vous soyez droguée aux faits divers, je trouve que ce n'est pas très sérieux."
Sur le thème de la transparence de la vie publique, alors que François Fillon et Marine Le Pen sont impliqués dans des affaires judiciaires, Jean-Luc Mélenchon déclare : "Il faut châtier les corrompus et les corrupteurs."
Benoît Hamon : "Je serai un président honnête. Honnête, cela suppose d'être libre et indépendant par rapport à l'argent."
S'étant senti ciblé par une réplique de Benoît Hamon, Emmanuel Macron intervient : "Je pense que c'est pour moi, donc je vais répondre."
Emmanuel Macron poursuit : "Ma campagne est financée dès le premier jour par des dons de personnes physiques, aucun lobby ne donne."
Benoît Hamon insiste : "Pouvez vous prendre l'engagement que dans les personnes qui ont donné, il n'y a pas de cadre de l'industrie pharmaceutique, pétrolière et chimique ?" Réponse de Macron : "L'identité des donateurs est protégée."
À une mesure proposée par Marine Le Pen, François Fillon rétorque : "Personne n'a jamais créé 40.000 places de prison en un mandat. Ce n'est pas possible."
Marine Le Pen, dans sa présentation en début d'émission : "Je ne souhaite pas être la vice-chancelière de madame Merkel."
Emmanuel Macron vise ses petits camarades : "Je ne fais partie de la vie politique depuis des années ou des décennies."
François Fillon s'en prend à un éventuel retour de la police de proximité : "Des bandes attaquent des voitures aux cocktails Molotov, je ne crois que la police de proximité pourra apporter une réponse à cela."
Jean-Luc Mélenchon rebondit sur l'insécurité : "Il y a une délinquance qui n'a pas l'air de retenir l'attention. La France se fait voler 85 milliards par les tricheurs du fisc."
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