Mais il s'est montré confiant en l'Europe et en la France. "La zone euro a été sauvegardée et l'Europe a enfin mis en place les instruments de stabilité et de croissance qui lui manquaient, s'est-il félicité. Sur la France : "Je connais le talent de nos entrepreneurs comme de nos salariés. Mon devoir, mon premier devoir, mon seul devoir, c'est faire que notre pays avance et que notre jeunesse retrouve espoir".
Le chef de l'Etat a mis l'accent sur l'emploi. "Toutes nos forces seront tendues vers un seul but : inverser la courbe du chômage d'ici un an. Nous devrons y parvenir coûte que coûte", a-t-il prévenu. "Voilà, le cap est fixé : tout pour l'emploi, la compétitivité et la croissance", a-t-il tranché. Et d'ajouter : "Ce cap sera tenu. Contre vents et marées. Je n'en dévierai pas. Non par obstination, mais par conviction".
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