"Il n'y a rien de pire que l'amalgame", a répondu Manuel Valls, qui a continué, dans l'hémicycle du Palais Bourbon : "Peu importe de savoir quelles sont les origines [du tireur parisien], la République est là pour condamner ceux qui s'en prennent d'une manière ou d'une autre à nos institutions, aux lieux de culte et à des personnes."
S'adressant directement au député, Manuel Valls a ajouté :
"La République, monsieur le député Bompard, elle doit être forte bien sûr, pour se mobiliser contre ceux qui, comme vous, tiennent un discours de division, de haine et d'attaques contre les institutions-mêmes de la République."
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