D'où vient la décision de recourir à la procédure d'arbitrage pour régler le litige entre Bernard Tapie et le Crédit lyonnais ?
Selon l'ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde, cité par le Canard enchaîné à paraître mercredi 5 juin, la réponse est claire : de l'Elysée.
"En juillet 2007, Jean-François Rocchi, président du CDR (Consortium de réalisation, chargé de gérer le passif du Crédit lyonnais), et moi avons été convoqués par Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée. Il nous a donné pour instruction de recourir à un arbitrage.
"En juillet 2007, Jean-François Rocchi, président du CDR (Consortium de réalisation, chargé de gérer le passif du Crédit lyonnais), et moi avons été convoqués par Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée. Il nous a donné pour instruction de recourir à un arbitrage.
Le choix de l'exécutif était parfaitement clair", explique Stéphane Richard dans les colonnes de l'hebdomadaire.
Celui qui est désormais patron d'Orange y fait part de son intention d'informer la justice de cette instruction, lors de sa convocation le 10 juin prochain.
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