En janvier, lors du lancement de l'opération militaire au Mali, le costume de chef des armées lui avait permis de prendre un peu plus d'épaisseur en tant que président.
Il avait surtout bénéficié du soutien de ses alliés, ainsi que de celui de la quasi-totalité de la classe politique française.
Mais, cette fois, l'idée d'une intervention armée en Syrie rencontre beaucoup plus d'obstacles.
- Obama s'en remet au Congrès,
- Le Parlement français veut avoir son mot à dire,
- Les experts de l'ONU prennent leur temps
Enregistrer un commentaire
votre avis nous intéresse !!