Lorsqu'il est demandé au président de l'Assemblée si la France était prête à frapper la Syrie, il a répondu d'un "oui" franc. "S'il y a avait eu une décision comme celle que l'on attendait de Barack Obama, les frappes auraient déjà eu lieu" a détaillé Claude Bartolone.
Mais le patron de l'Assemblée refuse de parler d'"improvisation" lorsqu'il évoque la réaction de François Hollande après la temporisation américaine. "Ce n'est pas de l'improvisation, François Hollande a affirmé très vite la détermination de la France à ne pas accepter l'utilisation des armes chimiques."
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