«La question n'est pas de savoir si je veux ou ne veux pas revenir. Je ne peux pas ne pas revenir. Je n'ai pas le choix. C'est une fatalité. Une fatalité», a lâché Nicolas Sarkozy, selon l'hebdomadaire.
Entretenir la flamme
Des déclarations de la même teneur avait déjà filtré dans la presse. «Il y aura malheureusement un moment où la question ne sera plus : avez-vous envie ? mais aurez-vous le choix ? (...) Dans ce cas, effectivement, je serai obligé d'y aller. Pas par envie. Par devoir. Uniquement parce qu'il s'agit de la France», rapportait «Valeurs actuelles» début mars.
«La vie politique, ça ne m'intéresse plus, mais la France, c'est autre chose», aurait également confié l'ancien chef de l'Etat, mi-septembre, à une poignée de journaliste. «Vous ne pourrez jamais me détacher du destin de la France», aurait-il glissé un mois plus tard, lors d'un déjeuner du club Esprits d'entreprise.
Autant de petites phrases lui permettant de se rappeler au bon souvenir des Français par petites touches et d'entretenir la flamme...
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