Régulièrement interrompu par des huées modérées et des applaudissements, et même par le malaise du député PS de l'Hérault Patrick Vignal, le Premier ministre a rappelé le contexte de "crise sans précédent, qui menace de nous faire perdre ce que le siècle passé nous a légué : notre modèle social et républicain". Et souhaité que "les Françaises et les Français retrouvent le sens du combat commun".
Ayrault appelle "à l'effort national" mais "refuse l'austérité"
Pendant l'heure et demie de cet exercice rituel de la Ve République qu'est le discours de politique générale devant l'Assemblée nationale, Jean-Marc Ayrault a rappelé, martelé et parfois bafouillé le plan de son gouvernement autour des trois priorités de la campagne de François Hollande : "la jeunesse, l'emploi et la sécurité".
Régulièrement interrompu par des huées modérées et des applaudissements, et même par le malaise du député PS de l'Hérault Patrick Vignal, le Premier ministre a rappelé le contexte de "crise sans précédent, qui menace de nous faire perdre ce que le siècle passé nous a légué : notre modèle social et républicain". Et souhaité que "les Françaises et les Français retrouvent le sens du combat commun".
Régulièrement interrompu par des huées modérées et des applaudissements, et même par le malaise du député PS de l'Hérault Patrick Vignal, le Premier ministre a rappelé le contexte de "crise sans précédent, qui menace de nous faire perdre ce que le siècle passé nous a légué : notre modèle social et républicain". Et souhaité que "les Françaises et les Français retrouvent le sens du combat commun".
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